EN RIRE? OU EN PLEURER?

Publié le

Les bancs publics se multiplient sur la commune de Vieux-Boucau.
Un lecteur chef d’entreprise s’en offusque.

Il estime que cette prolifération de bancs (un tous les 150 mètres au bourg et ses alentours selon une source « hôteldevillienne ») perturbe la population au point de l’inciter à multiplier les raisons de faire la sieste.

 

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<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les temps changent ...Notre Ami Georges Brassens ne verrait plus d'amoureux sur leurs bancs ? Alain de Soustons.<br /> <br /> <br /> <br />
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