LE PERSIFLEUR (59)

Publié le par JMF

Le Persifleur s'est laissé conter que la municipalité de Soustons avait épuisé son stock de billets de contredanses.
Ses actions contre les infractions sur le territoire ont été tellement nombreuses en 2006 que papiers-amendes et stylos à billes ineffaçables sont désormais introuvables dans le pays.
Le porte-containers transportant la précieuse marchandise s'est échoué aux entrées fissurées de l'Aquitaine en Atlantique.
Le récent bilan traité en mairie aurait recensé environ 900 épinglés par la maréchaussée (s) et la marésentier (s) municipales.
Le Persifleur s'excuse de l'imprécision du chiffre car ses informations proviennent de radioblugenstein, une source non officielle et sujette à caution (sans le moindre sou de recettes publicitaires).
Le Persifleur regrette aussi de ne pouvoir livrer une analyse pertinente mais il n'a pas eu à ce jour connaissance du type des condamnés aux timbres-amendes.
Sans trop s'aventurer, il semblerait que juillet et août soient les mois où la répression verbalisatrice reste vitale.
La faute en revient à ces conducteurs venus d'ailleurs -donc non électeurs sur la commune-, incapables de respecter les coutumes de circulation et de stationnement des autochtones.
Preuve du savoir vivre des locaux, ces photos prises le mardi 5 décembre entre 10h30 et 11h (le photographe peut sûrement mieux faire à un autre jour et à d'autres heures).
N°1: Rue Nougaro, le stationnement est autorisé des deux côtés de la rue (arrêté municipal à prévoir).
N° 2: Soustons, la ville "minceur", ou comment traverser sur un passage pour piétons: manque le panneau "rentrez le ventre et serrez les fesses".
N°3: Allée de la Cantère, l'artère où les passages pour piétons ont été tracés à l'envers. Les services techniques envisageraient de les peindre dans un sens gênant moins les voitures, c'est à dire en suivant la trace des pas jaunes dessinés au sol.
Le Persifleur ne se privera pas à l'avenir d'agrémenter ses billets de quelques images de voitures contrevenantes. Il pourrait bien, les jours de mauvaise humeur, ne pas masquer certaines plaques d'immatriculation.


 

 

 

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